En même temps que d'assister à un petit vernissage au pied de la Tour avec Ana, nous sommes montées tout en haut admirer la vue. Il y avait un peu de brume, c'est dommage, mais de la haut on prend la pleine mesure de l'immensité de la ville et ça fait bizarre, c'est étouffant. Heureusement en bas, on ne sent pas vraiment que l'on est dans une mégalopole.
Considérée durant plusieurs années comme l’édifice le plus haut de Mexico et d’Amérique Latine, la Torre Latinoamericana est un motif d’orgueil pour les habitants, car durant sa construction, l'utilisation de la technologie mexicaine à permis de battre plusieurs records d’ingénierie. De plus, elle a résisté aux tremblements de terre de 1957 et 1985. Ce n’est plus aujourd’hui l’édifice le plus haut de la ville mais cette Tour reste un lieu spécial pour les habitants, étant un gratte ciel classique et emblématique.
Sa construction commença en 1949 et fut terminée 7 ans plus tard en 1956. La Torre est située dans une zone sismique, un système de rails fut donc employé pour la protéger. Elle résista ainsi, un an seulement après sa construction, à son 1er tremblement de terre en 1957, ce qui lui valu une reconnaissance internationale comme édifice le plus haut ayant résisté.
La Torre compte 43 étages de bureaux pour 183 m de haut et une antenne de laquelle sont transmis les signales de radio et télévision. De plus, de ses trois derniers étages, elle nous offre une excellente vue du Nord, du Sud, de l’Est et de l’Ouest de la ville.
Aménagement d'un espace de jardin composé de bambous et de grandes "vasques" en caoutchouc remplies d'herbe, sur lesquelles on peut s'assoir
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Vous vous souvenez de l'Ange doré ? et bien il a chuté lors du terremoto de 1957. La colonne est restée ainsi durant plus d'1 an
El Palacio de Bellas Artes
yGrandes Avenues et architecture
El Palacio de Bellas Artes
El Caballito au pied de sa tour et un bâtiment aux couleurs du Mexique pour le Jour de l'Indépendance
El Caballito au pied de sa tour et un bâtiment aux couleurs du Mexique pour le Jour de l'Indépendance
Et un trait d'humour pour finir. La pancarte dans le pesero (petit bus) dit :
No hable con el conductor. Esta loco.
Ne parlez pas au chauffeur. Il est fou.
En réalité, il y en a qui sont de vrais pilotes et d'autres à qui il ne faut rien demander, comme de te descendre à tel endroit, car ils ont cessé de penser...